Arkantose égaré?

D’une main sûre, le nécromant tendis la main et toucha cette porte.

« Hum encore plus chaude que l’air ambiant, c’est endroit est plein de mystère à éclaircir, pensa-t-il. »

Depuis qu’il avait quitté la Cité d’Eolia, Arkantose n’était pas resté caché dans un repère miteux, sans ambition d’aucune sorte. Non bien trop de mystères de par le monde méritaient d’être étudié et comprit selon lui.

C’est ainsi qu’au gré de ces périples il trouva cet étrange escalier, menant vers les entrailles de la Terre. Sans hésitation et portée d’un esprit de recherche et de découverte, il descendit.

Un sentiment étrange l’avait étreint tout le long de cette descente, qui semblait interminable. Une sorte de bien-être que seul les nécromants pouvaient ressentir à l’approche d’un monde peuplé de créatures que tous redoutent, sauf eux, car il s’agit de leur monde. La magie noire, comme on la nomme dédié à des êtres aussi vieux que le sol sur lequel on marche, reconnaît quand elle s’approche de ces maîtres. Oh non, elle n’a pas peur, elle est heureuse à l’idée de cette prochaine rencontre.

Néanmoins cette sensation ne pouvait cacher une fatigue extrême qui marche après marche accablait toutes personnes venant dans ce lieu. Mais Arkantose ne se laissa pas abattre, il se servit de magie pour la surmonter et continua son périple jusqu’à atteindre cette étrange Hall, aussi grand que vide et menant à cette unique porte.

« Ce serait donc la porte dont parle les légendes, nous la croyons égarée à jamais. »

Après un examen rapide de la structure et de l’architecture de la porte, dont il ne pouvait dire une quelconque date de construction ou trouver un peuple qui bâtissait selon ces mêmes dessins, il se demanda comment passer de l’autre côté de ces battants.

« Pousser ? Tirer ? Cela serait trop simple, une malédiction, un piège que sais-je n’importe quoi doit en empêcher l’accès. Mais alors comment ? »

Il resta là le regard absorbé par le signe d'Hadès: -§-, se posant milles question sur le lieu où il était et comment accéder là où même ces rêves les plus fous ne l’avaient pas conduit.